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Pierres vivantes - Page 27

  • Devenez franc-maçon pour Noël !

    La maçonnerie anglaise ne cessera jamais de nous étonner…

    Une initiative sans précédent vient d’être prise par la Fédération britannique du Droit Humain (Co-Masonry, comme on doit Outre-Manche). Il s’agit d’offrir à ses ami(e)s, à l’occasion de Noël, un Masonic Christmas Gift Pack – entendons : un cadeau de Noël maçonnique – pour la modeste somme de 80 £ (voir ce lien).

     

     

    Que trouverez-vous dans votre « box » ? Une invitation à venir visiter le local maçonnique le plus proche, un entretien avec des maçons de votre région et…une année de cotisation pré-payée, si vous êtes finalement initié ! Comme nous sommes entre gens de bonne compagnie, il est précisé que si vous changez d’avis en cours de route, vous serez remboursé…et qu’il en sera de même si, finalement, votre candidature est rejetée…

    Un responsable local du Droit Humain anglais déclare que par ce moyen « on espère atteindre des gens qui n’auraient jamais eu l’idée de demander à entrer dans la franc-maçonnerie ». Il s’agit, poursuit-il, d’un cadeau « qui peut vraiment changer votre vie ».

    Qu’on ne se méprenne pas, si le DH anglais est plus « libéral » que la GLUA et surtout mixte, la référence au GADL’U y est obligatoire et un bon nombre de ses loges y pratiquent le très peu « laïque » rituel Emulation – ou une version à peine modifiée. Et n’oublions pas que, récemment, un membre éminent de la GLUA, auteur à succès, ancien Précepteur de la Loge de Perfectionnement Emulation, mon ami Julian Rees, est passé au DH anglais au motif que la GLUA ne se préoccupait plus de spiritualité !

    Quant au site de la GLUA lui-même, il nous réserve d’ailleurs des surprises au moins équivalentes. Faites un petit tour et vous serez édifiés : en pleine page vous verrez dans le Grand Temple de Great Queen Street…un défilé de (charmants) mannequins, et une photo conviviale et « sympa » de quelques joyeux quadragénaires, vidant quelques pintes dans un pub des environs et déclarant qu’ils ont rejoint la franc-maçonnerie « pour rencontrer toutes sortes de gens, se faire des amitiés durables et prendre du bon temps ». Le site précise aussi, non sans fierté, que le siège de la GLUA peut être loué pour tourner des films, et de s’étendre longuement sur l’un de ceux qui ont été en partie réalisés sur place : Basic Instinct II, « starring Sharon Stone ». On a envie de dire : « Waouh ! »…


     Trop sympa de devenir franc-maçon !

     

    Qui a dit que la GLUA était misogyne ?

     

    Que conclure de tout cela ?...

    En premier lieu, c’est ma conviction personnelle forte, que l’on ne pourra jamais vraiment comprendre les ressorts intimes de la franc-maçonnerie si, au moins une fois dans sa vie, on ne prend pas la peine de se pencher sur l’histoire, les rituels et les usages de la maçonnerie anglaise. J’essaie d’illustrer dans ce blog, au fil des « posts », à quel point c’est vrai.

    En second lieu, que la maçonnerie britannique – anglo-saxonne au sens très large, car il n’y a pas, au Royaume-Uni comme aux USA, que des « saxons » – traverse bien depuis des années une crise sérieuse dont elle tente de sortir, en Angleterre bien mieux qu’aux Etats-Unis semble-t-il, mais qu’il ne faut surtout pas se hâter de prophétiser sa fin. Cela suppose simplement de sa part certaines de ces révisions déchirantes que le pragmatisme anglais gère avec un aplomb déconcertant ! On ne voit d’ailleurs pas bien jusqu’où cela ira. Il faut donc moins que jamais confondre la « tradition » maçonnique avec les manies des anglais, et moins encore avec les « accommodements » auxquels  les vicissitudes du temps contraignent ces derniers.

    Juste un petit mot en passant et pour finir – in cauda venenum. Dans ces conditions, hormis un réseau international en effet assez impressionnant, que signifie encore la « régularité » – c’est-à-dire, en pratique, la « reconnaissance » – telle que définie et sanctionnée par la GLUA ? Pour paraphraser Corneille, dans Sertorius (« Rome n’est plus dans Rome…»), on pourrait dire que « Londres n’est plus à Londres, mais partout où se trouvent des francs-maçons sincèrement attachés à la tradition maçonnique. »

    A chacun d’y songer et de forger son opinion…

     

  • Noël, Noël...

     

    En attendant l'An Nouveau, en cette période de l'année qui, pour le chrétien que je suis, invite chacun de nous à la renaissance...

     

     

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    ... et merci à tous ceux et à toutes celles qui m'ont témoigné leur intérêt pour les billets et les notes que je publie sur ces pages.

    Je reçois de nombreux messages et mets tout en œuvre pour y  répondre, dans un temps raisonnable, à la plupart d'entre eux. Toutes mes excuses à ceux ont dû attendre ou que j'ai oubliés !

    Vous êtes aujourd'hui 15 000 en moyenne à vous connecter chaque mois, après un demi-année d’existence de ce blog: c'est un bel encouragement pour moi car j'essaie ici de ne pas céder à la facilité ni à la démagogie, en traitant aussi sérieusement que possible - mais avec le risque assumé de me tromper - tous les sujets maçonniques qui me paraissent trop souvent caricaturés ou surtout très mal connus.

    Plusieurs de mes lecteurs m'ont suggéré de nouveaux thèmes, et je les ai bien notés. La maçonnerie, comme toute aventure humaine digne de ce nom, doit être vécue en l’esprit autant qu'avec le cœur. Elle suppose un travail qu'on ne peut négliger sans risquer de passer à côté de l'essentiel. Je m'efforce de tracer quelques chemins, sans dogmatisme et sans esprit de chapelle, mais sans langue de bois non plus, pour inviter ceux que tente l’esprit d'aventure à les suivre à leur tour.

    Je dis ce que j'aime et ce que je n'aime pas dans l'univers maçonnique, sans arrogance mais sans hypocrisie, et je tiens à justifier ces positions, non pour les faire partager par tous, mais au moins pour être compris de chacun de ceux qui me lisent.

     

    A bientôt !

  • Pendeloques et taus sur les tabliers...

    La France connait une particularité : la diversité des Rites de loges symboliques et, du même coup, la grande variété des décors (cordons, sautoirs, colliers et surtout tabliers) qui correspondent à chacun de ces Rites.

    Je voudrais ici évoquer – sans aucune exhaustivité, cela va sans dire ! – quelques erreurs que l’on commet parfois à ce sujet et quelques « légendes de parvis » qui courent à ce propos.

    1.       Les « sept pendeloques » des tabliers Emulation

    On sait que dans les loges Emulation, les tabliers de Maître sont bleus et présentent deux particularités : des rosettes en lieu et place des lettres « M. B. » si communes dans la tradition française (au Rite Français comme au REAA) et deux larges rubans, disposés de chaque côté de la bavette, auxquels sont appendus des chainettes (diversement qualifiées par les marchands de décors en France, de « pendeloques » ou de « pendrions » –  en anglais = tassels, c’est-à-dire « houppes ») portant une petite boule métallique à leur extrémité. En Angleterre, les chainettes sont d’argent pour les loges « ordinaires » – on dit là-bas « subordinate » – et d’or seulement pour les dignitaires, avec de rares exceptions pour certaines loges historiques. C’est la règle qui a souvent été reprise en France par la GLNF puis la GLTSO – mais qui n’y est qu’approximativement appliquée du reste. Au sein de la LNF, toutes les loges « portent d’or »…

     

     








    Tabliers anglais : Maître Maçon et Grand Officier


    La question sur laquelle je veux me concentrer ici est celle de l’origine et de la signification de ces deux ornements du tablier Emulation.

    J’ai souvent entendu dire que les sept chainettes dénotent une signification symbolique sur laquelle les commentaires vont bon train, on s’en doute. Que les fabricants, obligés de fixer un « standard », aient choisi le nombre sept pour un tablier de Maître n’a pas de quoi surprendre, mais cela n’est spécifié dans aucun rituel et ne fait l’objet d’aucune prescription de la GLUA notamment. C’est donc parfaitement gratuit et aucun symbolisme ne s’y attache particulièrement. La raison en est que, à l’origine, il y avait bien plus que sept chainettes, mais en fait un grand nombre de fils argentés ou dorés dont l’assemblage formait une houppe ou un gland de passementerie.

    Les tabliers de Maître présentaient une très grande diversité d’ornementation, en Angleterre comme en France, à la fin du XVIIIème siècle. C’est au moment de l’Union de 1813, qui donna naissance à l’actuelle GLUA, que tous ces détails furent standardisés. C’est à cette occasion que naquirent les « pendeloques ».

    Il était courant, à cette époque, de ceindre un tablier à l’aide d’un cordon de tissu dont les extrémités étaient décorées de houppes ou de glands de fils éventuellement dorés ou argentés. On nouait les deux extrémités par le devant, sous la bavette, et on laissait ainsi naturellement retomber de chaque côté les deux houppes. Les musées maçonniques exposent de nombreux exemples de ces tabliers anciens.

    Il fut peut-être jugé plus digne d’éviter tout aspect négligé en « simulant » cette disposition : la ceinture fut désormais attachée dans le dos ou sur le côté par une agrafe métallique mais deux bandes de tissu ornées de houppes « symboliques » – entendons par-là : « stylisées » – furent ajoutées par application directe et purement décorative sur le tablier. Les « pendeloques » étaient nées. Il fallut d’ailleurs un peu de temps fixer leur dimension exacte.

     Il faut noter que cette coutume anglaise – fixée lors de l’Union de 1813 et qui a ensuite « contaminé » les autres Grades Loges des Iles britanniques (Ecosse et Irlande) – ne concernait initialement que les décors Emulation (entendons par là, une fois encore, et pour dire les choses simplement, les loges de Rite « anglais » travaillant en France depuis 1913). La GLNF, très vite, a introduit des détails qui lui étaient propres, comme une cocarde tricolore (à ne pas confondre avec celle de la RAF – l’ordre des couleurs n’est pas le même) en lieu et place de la cocarde simplement bleue des anglais, sur le collier des Vénérable et sur les tabliers de Maître. Mais surtout, après-guerre, ayant de nouveau activé le RER qui avait plutôt déserté la GLNF, et surtout intégré après 1965 le REAA, elle a peu à peu étendu ces particularités aux tabliers des autres Rites : c’est ainsi que des tabliers du RER ont adopté les « pendeloques » – ce que la tradition française d’origine de ce Rite ne connait absolument pas – et que le REAA a suivi, sans doute dans le but de distinguer, dans les années qui ont suivi la douloureuse rupture de 1965, le REAA « irrégulier » dont les tabliers étaient identiques à ceux du Rite Français du GODF, hormis leur couleur, et le REAA « régulier » [1]

     

     Tablier REAA - sans les lettres MB, avec rosettes et pendeloques

     

    Chacun demeure évidemment libre d’agir à sa guise et le XVIIIème offrait du reste à tout maçon une liberté presque sans limite pour l’ornementation des tabliers, je me borne donc à un simple rappel : la description des tabliers du RER et du REAA, dans les textes fondamentaux ou les plus anciens documents de référence de ces Rites pour les grades bleus (Code maçonnique des loges réunies et rectifiées, 1778, pour le RER ; Tuileur de Delaunaye, 1821 et de Vuillaume, 1830, pour le REAA) sont parfaitement clairs : pas de pendeloques sur les tabliers dans les deux cas…et surtout, quel que soit le Rite, pas de « symbolisme » particulier à cette ornementation plaisante mais sans autre finalité que d’améliorer l’aspect de nos précieux décors, tout en rappelant un usage ancien !

    2.       Les « Taus renversé » sur les tabliers de Maitres Installés – ou Passés-Maîtres

    Une autre coutume est née au début du XIXème siècle, en Angleterre, là encore : faire apparaitre sur le tablier de Maîtres installés, ou Passés-Maîtres, en lieu et place des rosettes du tablier de Maître, des « taus renversés ». Le sujet est d’autant plus intéressant que les auteurs maçonniques anglais eux-mêmes ne savent trop quelle origine attribuer à cet usage…

    Soulignons qu’il s’agit bien ici des Installed Masters, et non des anciens Vénérables ou des « Vénérables d’honneur » comme on en connait en France : cela ne concerne donc que ceux qui sont réellement passés par la cérémonie dite « secrète » (et pas simplement « administrative ») d’Installation du Maître de loge, en présence des seuls Passés-Maîtres, cérémonie qui confère à son bénéficiaire des signes, mots et attouchements spécifiques, lui révèle une légende nouvelle et surtout lui fait prendre un engagement d’une importance et d’une solennité toutes particulières.[2] En Angleterre, et dans les Grandes Loges qui ont, de par le monde, adopté cet ancien usage, la qualité de Passé-Maître (Past Master) est inaliénable et son titulaire est invité à en porter les insignes (médaille de poitrine, collier portant un bijou spécifique – sur lequel je ferai un post à part –  et présence de « taus renversés » sur le tablier) jusqu’à la fin de ses jours, en toutes circonstances en loge bleue. Il faut également préciser, car c’est également une erreur habituelle, que seuls les taus sont la marque du Passé-Maître sur son tablier, et non les pendeloques qui, on l’a vu, sont communes à tous les Maîtres Maçons.

     

     

    Tablier de Maître Installé anglais


    Le point qui demeure aujourd’hui on résolu est celui de l‘origine de ce curieux symbole du « tau renversé » : aucun texte maçonnique anglais ne nous en donne la clé !

    Les anglais appellent cette figure « level » ou « double square » – niveau ou double équerre – ce qui est simplement descriptif mais n’est guère plus éclairant ! On ne peut donc que formuler quelques hypothèses.

    Dans son si précieux Freemasons’ Guide and Compendium, Bernard Jones évoque notamment trois d’entre elles, sans trancher car aucune n’emporte la conviction : par exemple le fait qu’il existe une référence biblique au signe du « Tau » comme un signe « d’élection » dans Ezechiel, 9, 3-4 :

    « Alors la gloire du Dieu d'Israël s'éleva de dessus le chérubin sur lequel elle était, et se dirigea vers le seuil de la maison ; elle appela l'homme vêtu de lin, qui portait une écritoire à sa ceinture.

    Et l'Éternel lui dit : Traverse la ville, Jérusalem, et fais une marque [d’un Tau] sur le front des hommes qui gémissent et qui soupirent à cause de toutes les abominations qui se commettent dans son sein. »

    Cette marque permet donc d’identifier ceux qui sont restés fidèles à Dieu : cela suffit-il à expliquer leur présence sur les tabliers des Maîtres Installés ? Et s'il s'agit bien de taus qui figurent sur le tablier, pourquoi avoir renversé la lettre ?

    Je crois que l’on peut formuler une autre hypothèse. Je la résume ici.

    On sait que l’Installation secrète, dont les premières mentions certaines remontent aux années 1740 en Irlande, et la première description rituelle documentée à 1760 en Angleterre, était aux yeux des « Antients » (membres de la Grande Loge dite des Anciens, fondée 1751) une tradition majeure car elle permettait l’accès  à ce qu’ils considéraient comme le sommet de la maçonnerie symbolique : l’Arc Royal. Au moment de l’Union de 1813, le statut de l’Arc Royal se régla par un compromis et l’on « oublia » provisoirement l’Installation secrète mais elle continua d’être pratiquée avant d’être à son tour réglementée officiellement à partir de 1827. Retenons simplement que l’Installation secrète, la qualité de Maître Install était alors un pré-requis indispensable pour devenir Compagnon de l’Arc Royal. Cette exigence fut d’ailleurs abandonnée par les anglais dès 1823 (mais subsiste toujours en Ecosse et en Irlande).

    Or, le symbole fondamental de l’Arc Royal, qui est lui-même une stylisation du monogramme de Templum Hierosolyma, se décompose très simplement en… trois taus !

     

     Le symbole fondamental de l’Arc Royal...




    ...et sa déconstruction...


    Mon hypothèse est donc la suivante : la mention de trois taus sur le tablier d’un Maître installé n’était-elle pas l’annonce qu’en assemblant ces trois éléments, on pouvait composer le monogramme de l’Arc Royal – et que le Maître installé était donc « virtuellement » en possession des secrets de cet « Ordre suprême » ?

    Je laisse chacun à ses réflexions…

    Un dernier point : comme les pendeloques, qui ont « envahi » les décors de plusieurs Rites en France, les taus ont fait leur apparition sur les tabliers du RER et même du Rite Français (surtout Rite Français Traditionnel – RFT)  mais aussi du REAA, dans les Obédiences qui pratiquent officiellement l’Installation secrète.


    Tablier de Passé-Maître "RER" - ici sans pendeloques !


    Tablier de Passé-Maître "REAA" - on a tout mis cette fois...


    Tablier de Passé-Maitre "RFT" - le placage de l'anglais sur le français...

     

    On peut faire ici la même remarque que pour les pendeloques : libre à chacun de faire comme il l’entend – à condition, au moins, de comprendre ce que l’on fait ! – mais il faut rappeler que le RER, comme tous les Rites de tradition française issus du XVIIIème siècle (avec le Rite Français), ignore la qualité de Maître Installé – même si de nombreuses loges RER se sont mises à en pratiquer la cérémonie – et donc aussi la présence des taus sur les tabliers. [3] Pour le REAA, la chose est en revanche plus discutable car le grade de Past Master y est clairement décrit dans le Tuileur de Vuillaume, et il fut pratiqué par les Frères du REAA au début du XIXème siècle mais la pratique s’en est perdue assez tôt en France. Sa redécouverte par les Frères du REAA qui rejoignirent la GLNF en 1965 était donc, en quelque sorte, un retour aux sources. Les usages sont toujours les mêmes pour les Frères de ce Rite au sein de la GL-AMF. Il y a une vingtaine d’années, j’ai été le témoin et également l’acteur d’un débat qui s’est élevé au sein de la GLDF – et du SCDF dont le Grand Commandeur avait eu, à cette époque bien différente de celle que nous vivons, la courtoisie de me consulter à titre « d’expert » – sur l’opportunité éventuelle d’y rétablir cet usage. L’issue du débat, que j’avais alors fortement contribué à documenter, fut négative pour des raisons sans grand rapport avec la tradition maçonnique, je le crains. Cela n’a pas empêché l’Installation secrète – et donc les taus – de se répandre officieusement, depuis quelques décennies, dans un certain nombre de loges de la GLDF et sur pas mal de tabliers…

     



    [1] Dans le même esprit, sans doute, les lettres « M. B. » furent remplacées par des rosettes, à la manière anglaise. Il faut toutefois observer que les tabliers des Grands Officiers de la GLDF présentent depuis longtemps déjà des pendeloques.

    [2] Cf. les posts en cours de publication à ce sujet sur ce blog.

    [3] Rappelons qu’en revanche la possession préalable d’un grade est nécessaire pour devenir Vénérable d’une loge du RER : le grade de Maître Ecossais de St André.